talleen hacikyan
Talleen Hacikyan, née en 1959 à Montréal, est une artiste visuelle, graveure et éducatrice en art active depuis plus de trente ans. Elle est diplômée en anthropologie de l’Université McGill et en arts visuels et pédagogie de l’Université du Québec à Montréal. Elle est membre de l’Atelier Circulaire depuis 1985, où elle enseigne et se spécialise dans la gravure non toxique.
Sa pratique privilégie la collagraphie, qu’elle décrit comme intuitive et ludique, mais inclut aussi le monotype, la linogravure et la sculpture imprimée. Elle utilise des matériaux comme des feuilles, des légumes ou du bois gravé pour construire des récits visuels liés à l’identité humaine et à la nature.
Elle a participé à plus de 80 expositions au Canada et à l’international, notamment aux États-Unis. Elle a reçu le Prix Loto-Québec, le Prix Pierre-Henry (Pratt & Whitney Canada) et le Speedball Purchase Award. Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections publiques et privées.
John Heward
John Heward (1934–2018), né à Montréal, est un artiste autodidacte reconnu pour son travail en peinture, sculpture, gravure, performance et musique improvisée. Diplômé en littérature anglaise et histoire de l’Université Bishop’s, il est également le neveu de la peintre Prudence Heward. Il a marqué la scène artistique contemporaine par une pratique intuitive de l’abstraction, alliant gestes bruts, matériaux simples et dispositifs installatifs.
Il a tenu plus de 40 expositions individuelles, notamment à Paris, Atlanta, Calgary et Toronto, et participé à de nombreuses expositions collectives au Canada et aux États-Unis. Ses œuvres ont été exposées au Musée des beaux-arts de Montréal, au Musée national des beaux-arts du Québec et au Centre culturel canadien à Paris.
En 2012, il reçoit le prestigieux Prix Paul-Émile-Borduas pour l’ensemble de son œuvre. Héritier d’une génération d’artistes explorant la frontière entre image et son, John Heward laisse une empreinte profonde sur l’art contemporain québécois et canadien.
Flux 4
2014 | 120 x 80 cm | Eau-forte et chine collé
Flux 2
2014 | 120 x 80 cm | Eau-forte, chine collé et rehaussée à l’encre de chine | 1 exemplaire
$2,800.00 CAD
Sans-titre 3
2003 | 40 x 50 cm | Eau-forte | 12 exemplaires
Flux 5
2014 | 120 x 80 cm | Eau-forte et chine collé
Flux 3
2014 | 120 x 80 cm | Eau-forte et chine collé
Sans-titre 4
2006 | 57 x 38 cm | Eau-forte et pointe sèche | 1 exemplaire
Flux 6
2014 | 120 x 80 cm | Eau-forte et chine collé
Sans-titre 2
2003 | 45 x 38 cm | Eau-forte | 12 exemplaires
Sans-titre 5
2006 | 57 x 38 cm | Eau-forte et pointe sèche | 1 exemplaire
Sans-titre 1
2007 | 65 x 50 cm | Eau-forte | 10 exemplaires
paul hichin
Paul Hichin, né en 1941 à Codsall, en Angleterre, s’installe en France en 1962 après avoir étudié à la Birmingham School of Fine Arts (1958–1961). Il se spécialise dans la gravure au burin et la manière noire, développant une esthétique minimaliste profondément marquée par un grave accident de voiture survenu dans sa jeunesse, qui lui a laissé des troubles visuels permanents.
À la fois artiste et scénographe, il a collaboré avec d’importantes figures du théâtre telles que Roger Planchon, Jean-Louis Martinelli et Henri Ronse. Sa pratique de l’estampe explore la mémoire, le corps humain et l’héritage de la guerre. Parmi ses séries majeures figurent Set in Copper (1991) et Traces and Whispers from Emptiness (2002), exposées en France, notamment au Musée de la Résistance à Grenoble.
En 1982, il cofonde l’URDLA à Villeurbanne, un centre dédié à l’estampe contemporaine, où il continue de contribuer à une approche collaborative et novatrice de l’art imprimé.
céline huyghebaert
Céline Huyghebaert s'intéresse aux points de rencontre entre arts visuels et littérature à travers des projets d’écriture, de publication, d’exposition et de collaboration. Elle utilise une variété de techniques pour raconter des histoires à la croisée du documentaire et de la fiction : les procédés d'impression traditionnels et numériques, l'écriture, la photographie, le montage, mais aussi des outils plus sociologiques comme l'enquête, l'entrevue ou la recherche d'archives. Elle travaille particulièrement avec des gestes collectifs et des matériaux pauvres, comme du papier, des photocopies et des risographies.
Elle a eu la chance de recevoir plusieurs reconnaissances prestigieuses ces dernières années, comme la Bourse Claudine et Stephen Bronfman en art contemporain pour sa pratique artistique (2019), le Prix littéraire du gouverneur général pour Le drap blanc (Le Quartanier) (2019) ou le prix Artiste dans la communauté pour le projet « De tous nos corps », mené avec des personnes ayant reçu un diagnostic de cancer (2023). Elle a obtenu une maîtrise en littérature et un doctorat en arts visuels à l'UQAM qui a été soutenu par la bourse CRSH Vanier. Elle poursuit actuellement un postdoctorat entre le Québec et la France, qui implique la création d'un nouveau livre et d'une exposition autour de la représentation de la douleur.
Carmen Isasi
Carmen Isasi, née en 1958 à Bilbao et résidant à Madrid depuis 1993, est une artiste visuelle pluridisciplinaire dont la pratique mêle peinture, gravure, dessin, collage, photogravure, installations sonores et vidéo. Diplômée en Beaux-Arts de l’Université du Pays Basque, elle a complété sa formation à Madrid par un master en Esthétique et Théorie de l’Art, et a participé à plusieurs ateliers du Círculo de Bellas Artes.
Elle explore les liens entre mémoire collective et identité, s’inspirant autant de l’histoire de l’art espagnol que des enjeux sociaux contemporains. Son travail se distingue par sa finesse de composition, son usage subtil de la couleur et son ouverture à l’expérimentation technique.
Depuis les années 2010, elle expose régulièrement en Espagne et à l’étranger, notamment en Europe et en Amérique latine. Son œuvre attire un public varié et participe activement au renouvellement de la scène artistique ibérique.
maria jankovic
Maria Jankovics est une artiste visuelle née en 1949 à Budapest, en Hongrie, et installée à Montréal (Québec) depuis plusieurs décennies. Elle est diplômée en arts plastiques de l’Université Concordia de Montréal, où elle a acquis une formation approfondie en arts visuels.
Depuis 1985, elle a participé à plus de 134 expositions individuelles et collectives, témoignant d’une carrière soutenue et engagée dans la scène artistique québécoise. Son travail a été présenté dans de nombreuses Maisons de la culture, dont la Maison Meunier, la Maison de la culture Mercier, la Maison de la culture Notre-Dame-de-Grâce et la Maison de la culture de Gatineau.
Son œuvre, souvent marquée par une sensibilité fine aux formes et aux textures, explore la mémoire, le corps et l’identité à travers des techniques variées, notamment la gravure et l’estampe. En 2005, elle était toujours active à Montréal, poursuivant son engagement dans les arts visuels.
Saskia Jetten
Originaire des Pays-Bas, Saskia Jetten est une artiste en arts visuels spécialisée en estampe contemporaine. Elle vit aujourd’hui en Colombie-Britannique, au Canada, où elle poursuit sa pratique artistique tout en participant activement à la scène internationale de l’estampe. Son travail a été présenté dans de nombreuses expositions individuelles et collectives en Europe, au Canada, aux États-Unis et en Chine, confirmant ainsi la portée internationale de sa démarche créative.
En 2012, elle a reçu le Prix Atelier-Galerie A. Piroir lors de la Biennale internationale d’estampe contemporaine de Trois-Rivières (BIECTR), l’un des événements majeurs consacrés à l’estampe au Québec. Elle est également lauréate du prix Grafiek Nu 10 aux Pays-Bas, soulignant la reconnaissance de son travail dans son pays natal. Son œuvre explore souvent la répétition, les structures organiques et les textures, traduisant une réflexion subtile sur le vivant et la transformation.
Garment for a fair lady (diptych)
2016 | 62 x 72 cm | Lithographie | Monotype
Untitled
2016 | 42 x 40 cm | Lithographie et broderie | 2 exemplaires
François Jeune
François Jeune est un artiste visuel français né en 1951 à Boulogne-Billancourt. Il est reconnu pour sa contribution majeure à l’abstraction contemporaine en France. Formé à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, il commence à exposer dès les années 1980 et devient une figure importante du mouvement néo-géométrique en Europe.
Sa démarche se distingue par une exploration rigoureuse de la couleur et de la structure, dans une tension constante entre rationalité et sensation. Ses œuvres sont souvent composées de trames, de lignes vibrantes et de surfaces modulées qui interrogent la perception. François Jeune a été exposé dans de nombreuses institutions majeures, dont le Centre Pompidou et le Musée d’Art Moderne de Paris, et ses œuvres font partie de collections publiques en France et à l’international.
Harlan Johnson
Harlan Johnson est un artiste et graveur américain né en 1965. Il vit et travaille au Québec depuis le début des années 2000. Titulaire d’un baccalauréat en beaux-arts de l’Université d’État de l’Ohio et d’une maîtrise en gravure de l’Université du Wisconsin, Johnson s’est distingué par une pratique alliant humour, symbolisme et un dessin expressif rigoureux.
Ses œuvres, principalement des gravures sur bois, eaux-fortes et dessins, traitent souvent de l’absurde, du quotidien et de la condition humaine. Elles ont été exposées dans plusieurs galeries au Canada et aux États-Unis, notamment à Montréal, Québec, Chicago et New York. Il a aussi enseigné les arts imprimés dans diverses institutions canadiennes et participe activement à la communauté de la gravure contemporaine.
lucie jolicoeur-côté
Lucie Jolicoeur-Côté est une artiste en arts visuels établie à Montréal. D’abord active dans le dessin et la peinture, elle s’oriente vers la gravure au début des années 1990. Attirée par les possibilités expressives de l’eau-forte, elle suit une formation spécialisée au Centre Saidye Bronfman, puis se perfectionne à l’école de gravure d’Urbino, en Italie.
Son œuvre, empreinte de poésie et de rigueur formelle, s’inscrit dans une démarche d’exploration de la matière et du trait. Elle est membre de l’Atelier Circulaire ainsi que du regroupement ARPRIM.
Elle participe régulièrement à des expositions au Canada et à l’international, et ses œuvres font partie de plusieurs collections publiques et privées, dont celles de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et de la Ville de Montréal.
Fleuve
2012 | 61 x 50 cm | Eau-forte, chine et plaques découpées | 10 exemplaires
A duetto
2012 | 54 x 38 cm | Eau-forte et plaques découpées | 15 exemplaires
Nouvelle vague
2007 | 77 x 37 cm | Eau-forte et plaques découpées | 25 exemplaires
Concertation
2013 | 66 x 47 cm | Eau-forte et plaques découpées | 15 exemplaires
Infinità
2008 | 66 x 51cm | Eau-forte et plaques découpées | 25 exemplaires
Liberazione
2012 | 65 x 50 cm | Eau-forte et plaques découpée | 10 exemplaires
À tire d’aile
2007 | 76 x 57cm | Eau-forte, chine et plaque découpée | 25 exemplaires
Fantasia
2008 | 54 x 43cm | Eau-forte et plaques découpées | 20 exemplaires
Envolée
2008 | 76 x 56cm | Eau-forte et plaque découpée | 25 exemplaires
Semplicemente
2008 | 66 x 50cm | Eau-forte et plaques découpées | 25 exemplaires
Interaction
2008 | 66 x 51 cm | Eau-forte et plaques découpées | 15 exemplaires
Présence
2014 | 51 x 40 cm | Pointe-séche et manière noire | 15 exemplaires
Blues
2011 | 66 x 56cm | Eau-forte et plaques découpées | 20 exemplaires
Sons harmonieux
2007 | 76 x 57 cm | Manière noire, eau-forte et plaques découpées | 20 exemplaires
Entente
2009 | 66 x 50cm | Eau-forte et plaques découpées | 25 exemplaires
Ouverture
2012 | 71 x 55 cm | Eau-forte et plaques découpées | 10 exemplaires
Le printemps
2014 | 35 x 28 cm | Pointe-séche, eau-forte et chine | 15 exemplaires
Broderies d'étoiles
2015 | 55.9 × 39.4 cm | Eau-forte, chine et plaque découpée | 10 exemplaires
Julianna Joos
Julianna Joos est une artiste en arts visuels, professeure et chercheuse basée à Montréal. Détentrice d’un baccalauréat en beaux-arts de l’Université Concordia et d’une maîtrise de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), elle enseigne les arts plastiques au Collège Dawson depuis plus de vingt ans.
Sa pratique artistique se concentre sur la gravure contemporaine, le textile, la photographie et le livre d’artiste. Elle explore les notions d’identité, de mémoire et de narration à travers des œuvres hybrides combinant techniques traditionnelles et technologies numériques.
Elle a participé à de nombreuses expositions collectives et individuelles au Canada, en Europe, en Amérique du Sud et en Asie. Ses œuvres font partie de collections privées et publiques, notamment à Bibliothèque et Archives nationales du Québec, au Musée des beaux-arts de Sherbrooke et à la Collection Loto-Québec.
harold klunder
Né aux Pays-Bas en 1943, Harold Klunder immigre au Canada en 1952. Il s’installe à Toronto où il poursuit sa formation artistique au Central Technical School dans les années 1960. Sa première exposition solo, en 1976, marque le début d’une carrière soutenue en peinture contemporaine.
Klunder développe des œuvres denses et expressives, réalisées sur plusieurs années. Sa pratique picturale explore des thèmes liés à l’identité, à la mémoire, à la biologie, à la temporalité et à la psychologie. Depuis plusieurs années, l’autoportrait constitue un fil conducteur dans sa démarche, où chaque toile devient une introspection visuelle.
Reconnu au Canada comme à l’étranger, il est représenté dans plusieurs collections majeures : la Galerie nationale du Canada, le Musée des beaux-arts de Montréal et la Art Gallery of Ontario.
Peter Krausz
Né en 1946 à Brașov, en Roumanie, Peter Krausz immigre au Canada en 1970 après avoir quitté l’Europe de l’Est pour fuir le régime communiste. Il s’installe à Montréal, où il développe une carrière d’artiste visuel marquée par une réflexion profonde sur l’histoire, l’exil et la mémoire.
Diplômé de l’Institut des beaux-arts de Bucarest, Krausz enseigne à l’Université de Montréal, puis à l’Université Concordia où il a été professeur au département des arts visuels. Son travail, à la frontière de la figuration et de l’abstraction, s’inspire souvent des paysages méditerranéens et des traumatismes historiques du XXe siècle.
Ses œuvres ont été exposées dans de nombreuses galeries et musées, notamment au Musée national des beaux-arts du Québec et à la Galerie de l’UQAM. Elles figurent également dans plusieurs collections publiques et privées au Canada et à l’étranger.
Serge Lafortune
Né à Montréal en 1952, Serge Lafortune est un artiste visuel québécois reconnu pour sa pratique de l’estampe, de la photographie et de l’installation. Diplômé de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) en arts visuels, il s’implique activement dans le milieu artistique dès les années 1980. Il a notamment été membre de l’Atelier Graff, un centre de production et de diffusion en arts imprimés.
Son travail interroge les rapports entre mémoire, trace et transformation. Par une approche souvent conceptuelle, Lafortune explore les limites du médium imprimé et son interaction avec l’espace.
Ses œuvres ont été présentées dans de nombreuses expositions individuelles et collectives au Québec, au Canada et à l’international. Elles figurent également dans des collections publiques importantes, dont celles du Musée national des beaux-arts du Québec et du Musée d’art contemporain de Montréal.
Janne laine
Né en 1970, Janne Laine vit et travaille à Tampere, en Finlande. Il est reconnu pour sa maîtrise exceptionnelle de la gravure, acquise au sein du Graphic Studio Himmelblau, où il a travaillé plus de 25 ans et a obtenu le statut de maître graveur en 2006. Sa pratique artistique est marquée par une exploration poétique des paysages, souvent empreints de silence et de mystère.
Il a participé à des expositions collectives dans environ 40 pays, et a présenté plus de 50 expositions individuelles, notamment en Finlande, en Islande, en Suède, en Norvège, au Canada, en Belgique et en Corée du Sud. Ses œuvres se retrouvent dans de nombreuses collections publiques et privées à l’international. Janne Laine a reçu plusieurs distinctions au cours de sa carrière, dont un prix à la Biennale internationale d’estampe contemporaine de Trois-Rivières, soulignant la portée internationale et la finesse de son travail.
Reconstructed Memory
2018 | 65 x 105 | héliogravure et aquatinte | 3 exemplaires
Reconstructed Memory
2018 | 65 x 105 | héliogravure et aquatinte | 3 exemplaires
Reconstructed Memory
2018 | 65 x 105 | héliogravure et aquatinte | 3 exemplaires
Shimmering Darkness
2011 | 64 x 85 cm | héliogravure et aquatinte | 32 exemplaires
Nocturne I
2016 | 50 x 65 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Sarastus
2019 | 40 x 50 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Towards Home
2016 | 40 x 50 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Calm
2017 | 40 x 50 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Veil in Between
2015 | 40 x 50 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
The Unknown
2016 | 64 x 85 cm | héliogravure et aquatinte | 16 exemplaires
Nocturne II
2016 | 50 x 65 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Misty Island II
2016 | 40 x 50 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Observer
2016 | 40 x 50 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Glow
2016 | 40 x 50 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Revelation
2016 | 45 x 40 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Infinite
2016 | 64 x 85 cm | héliogravure et aquatinte | 16 exemplaires
Hidden Path
2016 | 45 x 40 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Echo
2019 | 40 x 50 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Misty Island V
2016 | 40 x 50 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Misty Island IV
2016 | 40 x 50 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
Night Light
2016 | 45 x 40 cm | héliogravure et aquatinte | 48 exemplaires
norman laliberté
Norman Laliberté est un artiste multidisciplinaire né à Worcester, Massachusetts, en 1925, de parents canadiens-français. Il a grandi à Montréal avant de poursuivre ses études à l’Institute of Design de Chicago et à l'Illinois Institute of Technology. Reconnue pour sa grande diversité, sa carrière a embrassé la peinture, la sculpture, les installations et les arts graphiques.
Il s’est fait connaître internationalement en tant que directeur artistique de l’Expo 67 à Montréal, événement marquant pour les arts visuels au Canada. Laliberté a exposé dans plusieurs musées prestigieux, dont le Museum of Modern Art (MoMA) et le Smithsonian. Son style, souvent coloré et symbolique, s’inspire des arts populaires, de la spiritualité et du langage visuel universel.
Son œuvre foisonnante, marquée par une exploration constante des matériaux et des symboles, demeure une référence majeure dans le paysage artistique nord-américain. Il est décédé en 2021 à l’âge de 95 ans.
Nancy Lambert
Nancy Lambert est une artiste québécoise née en 1958. Diplômée de l’Université Laval en arts visuels, elle développe depuis les années 1980 une pratique centrée sur la gravure, le dessin et les techniques mixtes. Son travail explore les rapports entre corps, mémoire et empreinte, à travers des formes épurées et des textures délicates.
Elle est membre de l’Atelier Circulaire à Montréal et a participé à de nombreuses expositions collectives et individuelles au Canada, en Europe et en Asie. Ses œuvres figurent dans plusieurs collections publiques, dont celles du Musée national des beaux-arts du Québec, de la Bibliothèque et Archives nationales du Québec, ainsi que de la Ville de Montréal.
Nancy Lambert est également active dans l’enseignement des arts visuels et l’animation d’ateliers de création. Son travail, à la croisée du sensible et du conceptuel, propose une réflexion poétique sur le passage du temps et les traces laissées par l’humain.
michel lancelot
Michel Lancelot est un artiste visuel et graveur québécois reconnu pour son approche expérimentale de l’estampe. Né à Montréal, il a étudié à l’École des beaux-arts de Montréal avant de poursuivre sa formation à Paris, notamment à l’Atelier 17, fondé par Stanley William Hayter, un lieu emblématique de l’innovation en gravure. Son œuvre, caractérisée par une recherche constante sur la matière et les procédés d’impression, se déploie entre abstraction lyrique et figuration symbolique.
Depuis les années 1970, il a exposé dans de nombreux centres d’artistes et galeries au Canada, en France et en Belgique. Ses œuvres font partie de collections publiques telles que celles du Musée national des beaux-arts du Québec et de la Bibliothèque et Archives nationales du Québec. Membre de l’Atelier Circulaire, il a également contribué à la formation de jeunes artistes par ses ateliers et conférences. Son parcours allie exigence technique et poésie visuelle.
guy langevin
Guy Langevin est un artiste québécois né en 1954 à Lac-Mégantic. Formé en arts visuels à l’Université Laval, il se spécialise dans l’estampe, en particulier la lithographie et la mezzotinte. Membre actif de plusieurs ateliers, dont l’Atelier Circulaire à Montréal et Engramme à Québec, il développe depuis les années 1980 une œuvre sensible et raffinée, centrée sur la figure humaine et l’introspection.
Ses estampes, réalisées avec une grande maîtrise technique, explorent des thématiques liées au corps, au silence, au temps qui passe, et à la mémoire. Il a participé à plus de 300 expositions collectives et individuelles dans plus de 30 pays. Son travail a été primé à de nombreuses biennales internationales d’estampe (Pologne, Chine, Taïwan, Japon, etc.). Les œuvres de Guy Langevin figurent dans plusieurs collections publiques au Canada et à l’étranger, notamment celles du MNBAQ, de la BAnQ et du Musée de Gravelines en France.
Danielle Lanteigne
Originaire de Saint-Jérôme (Laurentides), Danielle Lanteigne est une artiste peintre québécoise formée à l’Université Concordia à Montréal. Dès son enfance, elle explore l’huile de manière autodidacte, développant une pratique fondée sur l’observation sensible du quotidien. Chaises, ouvertures, tables deviennent chez elle des figures vibrantes, témoins silencieux de l’espace vécu.
Lauréate du Grand Prix du Conseil de la culture des Laurentides en 1992, elle poursuit depuis une démarche axée sur la tension entre rigueur géométrique et spontanéité expressive. Sa maîtrise des contrastes chromatiques, des textures et des plans spatiaux révèle une sensibilité de coloriste affirmée. Elle transforme des objets familiers en présences presque animées, leur conférant une poésie discrète et un souffle nouveau.
Influencée par plusieurs figures majeures de l’art québécois, Danielle Lanteigne développe un langage visuel unique, traversé par la matière, la lumière et l’élan vital de la couleur. Son œuvre est exposée régulièrement au Québec et au Canada.
Jean-pierre larocque
Né à Montréal en 1953, Jean-Pierre Larocque suit une formation en dessin et en gravure à l’Université du Québec à Montréal au cours des années soixante dix. Plus tard il se consacre à la céramique qu’il étudie à l’Université Concordia pour ensuite obtenir une maîtrise de l’université Alfred de New York.
Ayant vécu et enseigné aux États-Unis pendant une dizaine d’années, l’artiste entreprend également de nombreux voyages en Europe et en Asie. Ses œuvres font parti de nombreuses collections publiques et privées en plus d’être exposées régulièrement en Amérique du Nord. L’exposition solo Trapping Shadows a inauguré le nouveau Gardiner Museum of Ceramics de Toronto en 2006. Jean-Pierre Larocque réside et travaille à Montréal.
Hélène Latulippe
Hélène Latulippe est une artiste canadienne établie à Montréal. Elle a étudié le design industriel et depuis 2012 détient un baccalauréat en beaux-arts de l’Université Concordia à Montréal.
Depuis, elle se concentre principalement sur les Arts visuels. Elle a aussi étudié en France et en Italie.
Elle a présenté plusieurs expositions individuelles et de groupes notamment à Calgary, Toronto, au Royaume-Uni et en Norvège. Elle a été artiste invitée en Norvège, Montréal et au Banff Center for the Arts and Creativity comme résidente indépendante au Leighton Colony Artists Studios, dans le cadre du Programme du Conseil des arts et des lettres du Québec – Résidences d’artistes et d’écrivains québécois au Banff Centre.
Elle est boursière du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) et de l’Université McGill à Montréal. Elle est lauréate de la 9e Biennale internationale d’Estampe contemporaine de Trois-Rivières pour la qualité de son travail et Artiste professionnelle 2014, ville de Montréal - arrondissement de Lachine.
Son travail fait déjà partie de plusieurs collections publiques et privées, dont Air Canada, Banque Nationale du Canada, Concordia University ainsi que des bureaux d’avocats, d’architecture et de design
Pays- toundra - Tundraland
Poème de Jean Désy et gravures d’Hélène Latulippe
2022 | 18 x 11 cm | relief | 40 exemplaires | éditeur Faiseurs d’images
Pays- toundra - Tundraland
Poème de Jean Désy et gravures d’Hélène Latulippe
2022 | 18 x 11 cm | relief | 40 exemplaires | éditeur Faiseurs d’images
Pays- toundra - Tundraland
Poème de Jean Désy et gravures d’Hélène Latulippe
2022 | 18 x 11 cm | relief | 40 exemplaires | éditeur Faiseurs d’images
Pays- toundra - Tundraland
Poème de Jean Désy et gravures d’Hélène Latulippe
2022 | 18 x 11 cm | relief | 40 exemplaires | éditeur Faiseurs d’images
Pays- toundra - Tundraland
Poème de Jean Désy et gravures d’Hélène Latulippe
2022 | 18 x 11 cm | relief | 40 exemplaires | éditeur Faiseurs d’images
Blocs Notes
2021 | 10 x 10 × 4 cm | Monotype et linogravure contrecollé sur cube en bois
Cascade Mountain in Fabruary
2019 | 229 × 97 cm | Linogravure sur papier d’entoilage et papier de fibre de verre
Cascade Mountain in July
2019 | 229 × 97 cm | Linogravure sur papier d’entoilage et papier de fibre de verre
49 Days to fall in Line
2017 | 87 x 103 cm chacun | Linogravure sur papier d’entoilage et divers éléments
49 Days to Fall in Line
Détail | 87 x 103 cm
49 Days to Fall in Line
Détail | 87 x 103 cm
49 Days to Fall in Line
Détail | 87 x 103 cm
Portée d’ombres II - Éminence grise
2016 | 107 x 220 cm | Linographie sur papier d’entoilage
Portée d’ombres II - Matière…
2016 | 107x 234 cm | Linogravure sur papier d’entoilage
Portée d’ombres II - L’œuf de Christophe (élément 1)
2016 | 97 x 293 cm | Linogravure sur papier d’entoilage
Portée d’ombres II - L’œuf de Christophe (élément 2)
2016 | 97 x 211 cm | Linogravure sur papier d’entoilage
Shelter New Dream
2021 | 152 x 101 cm | Linogravure sur tissu en laine
Protect New Dream
2021 | 152 x 101 cm | Linogravure sur tissu en laine
Une envolée de lines / Flight of Lines
2019 | 200 x 200 x 200 cm | Linogravure sur entoilage et voile enduit d'encaustique
Broderie sur lignes de codes II - Ligne d’horizons
2014 | Polyptyque, 336 x 127 cm | Impression à la cuillère sur papier Kraft et collage
Broderie sur lignes de codes II - Franchir la ligne
2014 | Triptyque 222 x 127 cm | Impression à la cuillère sur papier Kraft et collage
Broderie sur lignes de codes III - L’identité (Point droit)
2014 | 168 x 127 cm | Impression à la cuillère sur papier Kraft et collage
Broderie sur lignes de codes I - Parasites sur la ligne C
2013 | 87 cm x 132 cm | Impression à la cuillère su papier kraft et collage
Broderie sur lignes de codes II - Rompre la ligne
2014 | Triptyque, 222 x 127 cm | Impression à la cuillère sur papier Kraft et collage
Broderie sur lignes de codes III - L’identité (Point de feston)
2014 | 168 x 127 cm | Impression à la cuillère sur papier Kraft et collage
Broderie sur lignes de codes I - Parasites sur la ligne A
2013 | 87 cm x 132 cm | Impression à la cuillère su papier kraft et collage
Broderie sur lignes de codes III - L’identité (point de bâti)
2014 | 168 cm x 127 cm | Impression à la cuillère sur papier Kraft et collage
Broderie sur lignes de codes II - Point à la ligne
2014 | Diptyque, 168 x 127 cm | Impression à la cuillère sur papier Kraft et collage
Broderie sur lignes de codes I - Parasites sur la ligne B
2013 | 87 cm x 132 cm | Impression à la cuillère su papier kraft et collage
Broderie sur lignes de codes I - Parasites sur la ligne E
2013 | 87 cm x 132 cm | Impression à la cuillère su papier kraft et collage
Broderie sur lignes de codes I - Parasites sur la ligne D
2013 | 87 cm x 132 cm | Impression à la cuillère su papier kraft et collage
Traces
2012 | Triptyque, 76 x 228 cm | Pointe sèche
René Laubiès
René Laubiès naît à Saigon en 1924, où il grandit au carrefour des cultures asiatique et européenne. Après des études de droit au Maroc, qu’il termine en 1949, il s’installe à Paris. Fidèle à sa pratique picturale depuis l’adolescence, il se fait rapidement remarquer dans le milieu artistique d’après-guerre. Dès les années 1950, ses abstractions minimalistes, lumineuses et empreintes de méditation, suscitent l’intérêt des collectionneurs et des galeries.
Durant plus de trente ans, Laubiès mène une vie nomade, voyageant en Grèce, en Iran et en Turquie, tout en partageant sa vie entre Paris et l’Inde. Profondément influencé par les philosophies orientales, il élabore un langage visuel marqué par la clarté, la retenue et une dimension spirituelle. Ses toiles, aux tons doux et lumineux, transmettent une impression d’équilibre et d’intemporalité. René Laubiès s’éteint en Inde en 2006, laissant une œuvre qui unit les sensibilités orientales et occidentales.
Sans-Titre 1
2003 | 22 x 27 cm | Eau-forte | 7 exemplaires
Sans-Titre 2
2003 | 22 x 17 cm | Eau-forte | 14 exemplaires
Sans-Titre 3
2003 | 22 x 17 cm | Eau-forte | 30 exemplaires
Sans-Titre 4
2003 | 22 x 17 cm | Eau-forte | 25 exemplaires
Sans-Titre 5
2003 | 22 x 17 cm | Eau-forte | 14 exemplaires
Sans-Titre 6
2003 | 22 x 17 cm | Eau-forte | 13 exemplaires
jean-claude Le Floch
Né en 1945 et disparu en 2009, Jean-Claude Le Floch a suivi sa formation à l’École des beaux-arts de Lorient, avant de se perfectionner à l’atelier parisien du maître graveur en taille douce Manuel Robbe. De retour en Bretagne au début des années 1970, il enseigne la gravure à l’École des beaux-arts de Lorient, puis donne également des cours d’art aux enfants à Vannes.
Bien que l’enseignement ait occupé une place importante dans sa vie, Le Floch se consacre surtout à sa carrière de graveur. Ses œuvres, empreintes de précision et d’un sens raffiné de la composition, s’inspirent à la fois des paysages maritimes bretons et de traditions artistiques européennes. Ses expositions, individuelles ou collectives, lui valent une reconnaissance en Bretagne, à Paris, mais aussi aux Pays-Bas, en Allemagne, en Espagne et en Suède. Par son travail, Jean-Claude Le Floch a contribué à perpétuer et à renouveler la gravure en taille douce dans la création contemporaine.
christiane léaud
Afrique, Europe, Amérique : ces trois continents jalonnent la vie de Christiane Léaud, aujourd’hui artiste installée à Montréal, où elle vit et travaille.
Ses premières productions artistiques furent des batiks sur soie (panneaux et foulards), créés lors d’un séjour de deux ans à New York. Professeure de lettres (français, latin) au collège Jean-de-Brébeuf, elle a publié une série de cahiers pédagogiques intitulée À l’œuvre ! Un regard sur la littérature, dédiés à l’analyse de textes littéraires pour les élèves du secondaire (1 à 5). En parallèle, plusieurs de ses poèmes ont été publiés dans la revue Liberté.
En 2018, Christiane Léaud publie Lunaisons, une suite poétique enrichie par les encres de Rita Ezrati. Elle réalise également une exposition de collages, Relier ce qui est disjoint, à l’atelier-galerie Alain Piroir (Montréal). En 2021, elle diffuse Futur Antérieur, un livre-objet réunissant poèmes et reproductions de collages, dont les œuvres originales forment une exposition autonome. Enfin, Robert et moi (automne 2020) se présente comme une exposition événement, rassemblant plus d’une quarantaine de collages (dont une douzaine de grand format) à la croisée des arts visuels et de la littérature.
janine leroux-guillaume
Née en 1927 à Saint-Hermas (aujourd’hui Mirabel), Québec, Janine Leroux-Guillaume s’impose comme une figure majeure de la gravure contemporaine canadienne. Formée à l’École des beaux-arts de Montréal auprès de maîtres tels qu’Albert Dumouchel et Alfred Pellan, elle obtient son diplôme en 1954. En 1959, elle se rend à Paris et travaille à l’atelier Lacourière-Frélaut, réalisant de grandes eaux-fortes et des manières noires, qu’elle produira du tournant des années 1960 jusqu’au début des années 2000. Enseignante passionnée, elle transmet son savoir à l’École des beaux-arts de Montréal, à l’UQAM, à l’Université du Québec à Hull et au Cégep du Vieux-Montréal, de la fin des années 1950 aux années 1980. Ses œuvres, exposées au Canada, aux États-Unis et en Europe, font partie des collections du Musée national des beaux-arts du Québec, du Musée d’art contemporain de Montréal et de la National Gallery of Canada. Elle s’éteint à Montréal en janvier 2018, peu après l’ouverture d’une rétrospective au Centre d’art Diane-Dufresne.
Roy Lichtenstein
Roy Lichtenstein est né le 27 octobre 1923 à Manhattan. Connu pour ses tableaux représentant des bandes dessinées, le travail de Lichtentstein s’inscrit dans le mouvement du pop art. Ses oeuvres empruntent le style BD, mais le contenu parodie le genre avec beaucoup d’humour. Sa technique par excellence est l’emploi exagéré des points Ben-Day, un genre de pointillisme propre à l’impression de bande dessinée qui, en superposant des points de couleurs l’un sur l’autre, crée des couleurs secondaires. Son style, inévitablement influencé par la culture de la publicité américaine, est selon lui de la peinture industrielle plutôt que de la peinture américaine.
En 1951, sa première exposition solo a lieu à la galerie Carlebach à New York. Dans les années 1960, ses toiles sont exposées à la galerie Leo Castelli à New York aux côtés d’Andy Warhol, Jasper Johns et de James Rosenquist.
Liechtenstein obtient une maîtrise en arts visuels de l’université de l’état d’Ohio en 1949 et obtient ensuite un poste de professeur à la même école. Il y reste 6 ans et revient à New York pour poursuivre sa démarche artistique.
L’artiste est décédé le 29 septembre 1997 à Manhattan.
La Nouvelle chute d'Amérique
1992 | 48 x 36cm | Aquatinte et eau-forte | Éditeur Albert Dupont
La Nouvelle chute d'Amérique
1992 | 36 x 48cm | Aquatinte et eau-forte | Éditeur Albert Dupont
jean-claude lussier
Né à Montréal, Jean-Claude Lussier est un photographe autodidacte qui débute sa carrière professionnelle en 1984 et s’impose rapidement comme un photographe de mode de renommée internationale basé à Montréal. Pendant plus de trente ans, il réalise des campagnes visuelles marquantes publiées dans des magazines prestigieux tels que ELLE Québec, ELLE Canada, ELLE International et Fashion Magazine. Son style distinctif allie maîtrise technique et sens raffiné de la composition, capturant à la fois l’élégance et l’authenticité.
Son talent est récompensé à plusieurs reprises, notamment par de nombreux Prix LUX dans les catégories éditorial beauté et publicité entre 2002 et 2007. Après avoir longtemps exercé dans un studio du Plateau-Mont-Royal, il s’installe au centre-ville de Montréal, transformant son nouvel espace en atelier-galerie. Ses impressions grand format et œuvres encadrées y prennent une nouvelle dimension, offrant au public une expérience immersive et sublimée de sa photographie.
Artistes par nom de famille : m, n, o et P.
David Maes
Né au Canada d’une mère canadienne et d’un père hollandais. En 1987, il s’installe en France, où il amorce une nouvelle étape de sa démarche artistique.
Peintre de formation, il découvre la gravure peu après son arrivée à Paris, en intégrant l’atelier Lacourière-Frélaut. Très vite, son talent est reconnu : en 1990, il obtient une bourse du Ministère des Affaires culturelles du Québec, ainsi que le Prix du jury du Space Group of Korea à Séoul et une mention spéciale au Prix Lacourière à Paris.
L’année suivante, en 1991, la Fondation Grav’x à Paris le distingue à son tour. En 1992, il est sélectionné comme pensionnaire à la Casa de Velázquez à Madrid. Ce séjour marquera profondément son œuvre, influencée dès lors par les lumières et les contrastes du Sud. Il y demeure jusqu’en 1994.
En 1993, il reçoit une mention honorifique dans le cadre du Prix National de la Gravure à Madrid, puis, en 1994, le Prix du jury de la Troisième Triennale Mondiale d’Estampes de Chamalières. La même année, il quitte Madrid pour s’installer en région parisienne, avant de poser ses valises dans le sud de la France, près de Nîmes.
Les œuvres de David Maes ont intégré de nombreuses collections publiques, dont celles d’Air Canada (Montréal), du Musée Picasso (Antibes), de la Bibliothèque nationale de France, de la Calcografía Nacional (Madrid), du Musée national des beaux-arts du Québec, de la Ville de Montreuil, de Bibliothèque et Archives Canada (Ottawa) et de la Bibliothèque nationale du Québec.
françois-xavier marange
Né à Dreux, en France, en 1948, François-Xavier Marange s’installe à Paris à la fin des années 1950, où il devient apprenti en taille-douce à l’atelier Leblanc sous la direction de Paul Decottignies. Dans les années 1970, il travaille aux ateliers réputés Lacourière-Frélaut et Maeght, imprimant pour de grands artistes tels que Tàpies, Miró et Zao Wou-Ki. En 1982, à l’invitation de Louis-Pierre Bougie, il s’établit à Montréal et devient l’un des fondateurs de l’Atelier Circulaire, pour lequel il conçoit et construit la première presse et instaure la tradition des vendredis portes ouvertes.
Tout en excellant dans l’art de l’impression, Marange poursuit une démarche picturale personnelle tout au long de sa vie. Il expose en solo à Montréal, Québec, Ottawa, Vienne, Paris et Majorque, et participe à plus d’une cinquantaine d’expositions collectives, dont la Toronto International Art Fair et la Biennale de gravure Île-de-France. François-Xavier Marange s’éteint à Montréal le 8 octobre 2012, laissant une empreinte durable sur les scènes artistiques française et canadienne.
marcel mariën
Né à Anvers en 1920, Marcel Mariën s’impose comme une figure centrale du surréalisme belge. À 15 ans, il débute un apprentissage chez un photographe et, en 1937, inspiré par l’œuvre de René Magritte, rejoint le groupe surréaliste bruxellois. Artiste aux multiples facettes, il s’exprime par la poésie, l’essai, le collage, le cinéma, la photographie et la création d’objets. En 1943, il publie la première monographie sur Magritte et, en 1954, fonde la revue Les Lèvres Nues, puis dirige Le Ciel Bleu, contribuant activement à la mémoire du surréalisme belge. En 1959, il réalise le film provocateur L’Imitation du cinéma, qui provoque un scandale et sera interdit. Après une période à l’étranger, notamment en Chine dans les années 1960, il revient à la photographie surréaliste dans les années 1980, créant jusqu’à sa mort à Bruxelles en 1993 des portraits nus oniriques et marquants.
Lauréat Marois
Né le 15 avril 1949 à Saint-Éphrem-de-Beauce, Québec, Lauréat Marois s’installe à Québec en 1967, où il vit et travaille depuis. Il obtient en 1971 un diplôme en communications graphiques, spécialisé en sérigraphie, à l’École des beaux-arts du Québec, puis en 1972 une licence en enseignement des beaux-arts à l’Université Laval. Considéré comme un artiste canadien majeur de l’après-guerre, ses œuvres picturales et sérigraphiques attirent l’attention lors de ventes aux enchères, notamment avec des pièces comme Le Passage, Parc de la Mauricie.
Son travail se distingue par un figuratif renouvelé et une maîtrise remarquable de la sérigraphie, souvent appliquée à des compositions monumentales intégrées à l’architecture. Parmi ses réalisations emblématiques figurent Habitacle (1984) à la station de métro Saint-Michel à Montréal et Le droit à un jardin (Arabesques no 2) (1996) pour un centre d’hébergement. Ses œuvres font partie de collections publiques, notamment à Vancouver et à Ottawa.
pierre martin dit egide
Né en 1957 à Avignon, France, Pierre Martin dit Égide est un graveur au burin sur cuivre d’une grande maîtrise, établi à Sherbrooke, Québec. Sa technique raffinée explore les forces invisibles qui sous-tendent la réalité—comme l’électricité, le corps humain ou les structures cosmiques. Sa démarche vise à unir l’infiniment petit, tel que les cellules, et l’infiniment grand, comme les galaxies, soulevant ainsi des questions profondes sur l’existence humaine, l’organisation sociale et les dimensions spirituelles et physiques du monde.
Ses œuvres, marquantes par leur précision et leur portée conceptuelle, comprennent notamment Triptyque bâtons qui fument, Rupture Rouge, Possession et Société civilisée?. Elles allient virtuosité technique et profondeur réflexive. Par ses gravures, Pierre Martin dit Égide convie le spectateur à un dialogue contemplatif sur l’énergie, l’existence et notre place dans l’immensité de l’univers.
Roberto Matta
Roberto Sebastián Antonio Matta Echaurren, né le 11 novembre 1911 à Santiago, au Chili, compte parmi les plus grands contributeurs aux mouvements surréaliste et expressionniste. Formé à l’architecture à la Pontificia Universidad Católica de Chile, il abandonne ses études en 1933 pour s’installer à Paris. Au cours de ses voyages en Europe, il côtoie des figures majeures telles qu’Arshile Gorky, René Magritte, Salvador Dalí, André Breton et Le Corbusier.
Matta est particulièrement reconnu pour ses « inscapes », toiles monumentales qui visent à donner forme à la psyché humaine, inspirées des écrits de Freud et de l’idée que l’espace psychique se déploie en trois dimensions. Ses œuvres ultérieures, marquées par les bouleversements politiques des années 1940 et 1950, intègrent des images de machineries et de figures tourmentées. Alliant vision surréaliste et commentaire politique, Matta laisse un héritage artistique majeur du XXᵉ siècle. Il s’éteint en Italie à l’âge de 91 ans.
Oeuvre l’instant
1977 | 65 x 50 cm | Aquatinte et eau-forte
12PM - L’arc obscur des heurs
1975 | 64 x 90 cm | Aquatinte et eau-forte
2AM - L’arc obscur des heurs
1975 | 64 x 95 cm | Aquatinte et eau-forte
Ma Chair Rie
1979 | 68 x 52 cm | Aquatinte et eau-forte
Bande à jazz
1976 | 86 x 63 cm | Aquatinte et eau-forte
Hom’mere
1976 | 67 x 50 cm | Aquatinte et eau-forte
Sans titre 1
1983 | 67 x 50 cm | Aquatinte et eau-forte
The exit at the entrance
1983 | 67 x 50 cm | Aquatinte et eau-forte
Hom’mere III
1983 | 65 x 50 cm | Aquatinte et eau-forte
Être atout
1977 | 67 x 50 cm | Aquatinte et eau-forte
Motorcycle racing
1977 | 45 x 58 cm | Aquatinte et eau-forte
Sans titre 2
1977 | 45 x 58 cm | Aquatinte et eau-forte
Chaosmos
1975 | 66 x 50 cm | Aquatinte et eau-forte
Il explose
1976 | 66 x 50cm | Aquatinte et eau-forte
Être hommonde
1977 | 67 x 50 cm | Aquatinte et eau-forte
Nid de Noeds
1979 | 67 x 52 | Aquatinte et eau-forte
67 x 52 cm | Aquatinte, eau-forte sur chine nacré | Éditeur Georges Visat
67 x 52 cm | Aquatinte, eau-forte sur chine nacré | Éditeur Georges Visat
45 x 63 cm | Aquatinte, eau-forte sur chine nacré | Éditeur Albert Dupont
Jean mcewen
Jean McEwen est né à Montréal en 1923 et est décédé dans cette même ville en 1999. Formé d’abord en pharmacie, il se consacre rapidement entièrement à l’art, encouragé par Paul-Émile Borduas. Dans les années 1950, il perfectionne sa maîtrise de la peinture et de l’estampe à Paris et à Montréal, s’inspirant de l’abstraction gestuelle de Jackson Pollock, des champs colorés lumineux de Mark Rothko et des compositions lyriques de Jean-Paul Riopelle.
Ses œuvres abstraites, reconnues pour leurs superpositions de matière et l’intensité de leur dialogue chromatique, ont été exposées dans des centres culturels majeurs, dont Montréal, Toronto, New York, Paris et Londres. Ses peintures et estampes figurent dans d’importantes collections publiques, comme celle du Musée des beaux-arts du Canada. En 1998, Jean McEwen reçoit le prestigieux Prix Paul-Émile Borduas, consacrant une carrière marquée par une contribution majeure aux arts visuels au Canada.
Sans-titre 1
1994 | 120 x 80 cm | Eau-forte | 41 exemplaires
Ni plus ni moins
1994 | 120 x 80 cm | Eau-forte
Sans-titre 2
1993 | 120 x 80 cm | Eau-forte | 60 exemplaires
Jardin de pierre 6-1
1993 | 80 x 120 cm | Eau-forte | 60 exemplaires
claude mercier
Né le 10 septembre 1924 à Paris, Claude Mercier s’est imposé comme un sculpteur français majeur de l’après-guerre, reconnu pour son travail du métal. Formé à l’École Boulle puis à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts sous la direction de Marcel Gimond, il a développé un langage sculptural distinctif, utilisant l’aluminium, le laiton, le cuivre ou l’acier inoxydable pour créer des formes abstraites alliant puissance et élégance. Soutenu dès ses débuts par Henry Moore, Alberto Giacometti et Brassaï, il participe dès les années 1960 à de grandes expositions d’art contemporain.
Ses œuvres figurent dans d’importantes collections publiques, dont le Museum of Modern Art de New York, le Musée d’Art Moderne de Paris, le Fonds national d’art contemporain, ainsi que dans de nombreux fonds régionaux et collections internationales. À partir des années 1980, il partage son temps entre Paris et son atelier de Yèvre-la-Ville, réalisant des sculptures monumentales publiques et des « constructions » plus intimes explorant l’équilibre, la tension et le lyrisme. Nommé Officier de l’Ordre des Arts et des Lettres en 2015, Claude Mercier s’éteint le 24 janvier 2019, laissant une empreinte durable dans l’histoire de la sculpture abstraite en métal.
jean messagier
Jean Messagier naît à Paris en 1920 et grandit en Franche-Comté. Formé à l’École des Beaux-Arts de Paris à la fin des années 1930, il élabore un style qui fait le lien entre l’abstraction d’après-guerre et une peinture lyrique, alliant liberté gestuelle et profonde sensibilité à la nature. Proche à la fois de l’abstraction lyrique, de l’Art informel et parfois de la Nouvelle figuration, Messagier refuse cependant toute étiquette stricte, privilégiant une approche poétique et instinctive de l’image.
Ses œuvres, réalisées par larges gestes et riches harmonies colorées, évoquent les paysages, les saisons et les impressions sensorielles de son environnement. Au cours de sa carrière, il expose largement en France et à l’international, à Paris, Genève, New York, Tokyo, entre autres et représente la France dans de grandes biennales. Ses peintures et œuvres graphiques figurent dans d’importantes collections publiques, dont le Musée National d’Art Moderne à Paris. Jean Messagier s’éteint en 1999, laissant une œuvre célébrant la vitalité et le lyrisme de la nature.
David Moore
Né à Dublin, David Moore s’installe à Montréal au début de la vingtaine. Diplômé de l’École des beaux-arts de Montréal, il obtient ensuite une maîtrise en enseignement des arts à l’Université Concordia. De 1970 à 2006, il enseigne à Concordia, transmettant à plusieurs générations d’artistes une solide maîtrise technique et un esprit d’exploration créative.
Son œuvre couvre l’estampe, la peinture et le dessin. Parmi ses pièces présentées à l’Atelier-Galerie A. Piroir figurent Paysage urbain, Lumière d’hiver et Variation en bleu, qui illustrent son sens raffiné de la composition, le dialogue entre couleur et texture, ainsi qu’un équilibre subtil entre abstraction et figuration. Ses créations ont été exposées lors de nombreuses expositions individuelles et collectives au Québec et ailleurs au Canada, et se trouvent dans plusieurs collections publiques et privées. Alliant rigueur académique et ouverture à l’expérimentation, David Moore a marqué de façon durable la scène artistique contemporaine montréalaise.
Martin Müller-Reinhart
Martin Müller-Reinhart est né à Soleure, en Suisse, en 1954 et vit à Paris depuis 1977. Sa pratique artistique circule librement entre peinture, gravure et éléments sculpturaux, utilisant chaque médium pour construire des espaces visuels définis en grande partie par les lignes et les surfaces planes. Cette articulation crée des environnements où forme, lumière et espace se rencontrent, offrant un lieu de dialogue entre des éléments distincts mais complémentaires.
En dehors de son travail d’atelier, Müller-Reinhart est reconnu pour ses installations monumentales dans des églises et des espaces publics, conçues pour instaurer des atmosphères méditatives et sobres. Parmi ses réalisations marquantes figurent l’installation de 1989 dans la chapelle Saint-Louis de la Salpêtrière à Paris et celle de 2009 à l’église du Gesù à Montréal. Présentée à l’international, son œuvre invite le spectateur à habiter un espace où la retenue visuelle et la clarté structurelle suscitent sérénité et réflexion.
marc-antoine nadeau
Marc-Antoine Nadeau, graveur et peintre né à Montréal en 1943, se forme à l’École des beaux-arts de Montréal où il étudie la peinture et la gravure, notamment auprès d’Albert Dumouchel, figure marquante de l’estampe moderne au Québec. Au milieu des années 1960, il poursuit son apprentissage à l’Atelier libre de recherches graphiques, haut lieu d’expérimentation artistique, où il perfectionne la sérigraphie et l’eau-forte. Inspiré par l’avant-garde montréalaise, il développe un langage visuel alliant rigueur technique et richesse texturale. Son travail a été présenté dans plusieurs expositions collectives et individuelles, et se retrouve dans des collections publiques et privées. Ancré dans la tradition tout en explorant des voies contemporaines, Nadeau contribue à la vitalité de l’art imprimé au Canada.
georges nadra
Georges Nadra (né en 1959) est un artiste plasticien d’origine libanaise. Après avoir vécu au Liban jusqu’en 1986, il s’installe en France, partageant désormais son temps entre Paris et la Bourgogne. Depuis 1990, il développe une œuvre exigeante qui interroge la mémoire, l’exil et la matière, à travers la peinture, l’installation et les techniques mixtes. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions personnelles et collectives d’envergure, en galeries et en institutions, notamment en France, au Canada, en Suisse et en Allemagne. Ses œuvres ont été présentées dans des lieux tels que la Galerie 5 à Paris et le Centre culturel canadien, et intégrées à des collections publiques et privées. Sa pratique s’inscrit dans une démarche où l’abstraction dialogue avec la trace, et où le geste pictural devient langage.
Johny Ngbwa
Johny Hycinte Ngbwa, né en 1995 au Cameroun, s’installe en Italie en 2005. Passionné d’art depuis l’enfance, il intègre en 2009 l’Institut d’État d’Art de Forlì, où il obtient un diplôme de maître ès arts ainsi qu’un baccalauréat en décoration picturale et restauration. En 2014, il rejoint l’Académie des Beaux-Arts d’Urbino, se spécialisant en art graphique. En 2020, il décroche un diplôme de spécialiste en édition et illustration pour l’art graphique. Artiste polyvalent, son travail explore les relations entre techniques traditionnelles et langages contemporains. Parallèlement à sa pratique artistique, il exerce en tant qu’enseignant au MIUR (Ministère italien de l’Éducation, de l’Université et de la Recherche). Son parcours témoigne d’un engagement constant envers la transmission des savoirs et le dialogue interculturel.
Bert-Johnny Nilsson
Bert-Johnny Nilsson (1934–2004), né à Kristianstad en Suède, était un peintre et illustrateur de la seconde moitié du XXᵉ siècle, reconnu pour ses motifs surréalistes aux accents d’érotisme macabre et d’atmosphères proches du théâtre d’horreur. Formé aux arts graphiques, il a créé des compositions marquées par la présence de corps féminins blafards, mutilés ou ensanglantés, immergés dans des univers troublants et poétiques. Au fil des années, son inspiration a évolué vers des visions cosmiques, illustrant une Terre menacée par des catastrophes à venir. Son œuvre a intégré plusieurs collections publiques prestigieuses en Suède, notamment celles du Moderna Museet de Stockholm, du Malmö Museum, du Västerås Art Museum, du Norrköping Art Museum et du Ystad Art Museum. Il compte également plus de vingt ventes aux enchères répertoriées.
françois oberfalcer
François Oberfalcer (1939, Bohême du Sud – 2017, La Tour-du-Pin) est un artiste tchèque, plus connu en Tchéquie qu’en France. Diplômé de l’École des Beaux-Arts de Prague (1954-1958) et de l’Académie des Arts, Architecture et Design de Prague (1958-1964), il se réfugie en France après les événements de 1968. Installé d’abord à Gagny, puis à La Tour-du-Pin dès 1979, il se consacre pleinement à la gravure : eau-forte, aquatinte, pointe sèche, lithographie. Il pratique également l’aquarelle, la tapisserie et réalise des vitraux visibles à la mairie de La Tour-du-Pin. Enseignant passionné, il fonde les Ateliers d’Activités Artistiques et anime de nombreux stages en France et à l’étranger. Membre de l’association Hollar depuis 2004, il expose régulièrement en France, en Italie et en Tchéquie, notamment au Salon des Réalités Nouvelles.
Omen
OMEN est un artiste graffeur montréalais reconnu pour son style singulier, à la croisée du graffiti et du street art. Actif depuis les années 1990, il s’est imposé comme une figure majeure de la scène urbaine canadienne. Ses œuvres, réalisées principalement à la peinture aérosol, se distinguent par leur palette en noir et blanc et leur atmosphère “hantée”, où l’espace négatif et les lignes structurantes jouent un rôle central. Présentes aussi bien sur les murs des rues que dans les galeries, ses créations interrogent la dualité entre ombre et lumière, abstraction et figuration. OMEN a participé à de nombreux projets artistiques, expositions collectives et commandes publiques, contribuant à faire évoluer la perception du graffiti comme art contemporain.
travail en cours